Attention, mesdames: ne manquez pas ce symptôme du cancer de l’ovaire




Une femme sur cent seulement sait que ce signe devrait mettre tous les voyants au rouge!

De tous les cancers qui touchent massivement les femmes, le cancer du sein est celui dont on entend le plus parler. Et il est bien sûr très important de continuer l’auto-examen et de subir régulièrement une mammographie. Mais il est tout aussi important d’être attentive aux signes du cancer de l’ovaire. La société canadienne du cancer estime que 2800 Canadiennes reçoivent en moyenne un diagnostic de cancer de l’ovaire et que 1800 en meurent. Un taux de mortalité très élevé et qui s’explique en partie que la plupart des femmes ne reconnaîtraient pas les signes qui devraient les alarmer, comme l’indiquent de nouvelles recherches sur ce cancer.

Un organisme britannique a sondé 1000 femmes sur leur connaissance des facteurs de risque du cancer de l’ovaire. Dans l’ensemble, seulement un pour cent des répondantes savaient que le besoin fréquent d’uriner est un symptôme de la maladie.

Surveillez ces autres symptômes sur le cancer de l’ovaire que vous ne pouvez ignorer.

Pourquoi urine-t-on souvent et de façon plus urgente quand on a le cancer des ovaires? «Parce qu’une masse dans la région abdominale comprime les organes environnants, y compris la vessie», explique Katherine Pinder, de Target Ovarian Cancer.

Il y a bien sûr beaucoup d’autres raisons qui pourraient expliquer la plus grande fréquence de vos envies. Boire davantage d’eau, tomber enceinte ou souffrir d’une maladie telle que le diabète peut stimuler votre envie d’uriner.

Mais il est important de noter que, aussi mince soit-elle, la possibilité d’avoir ce cancer si vous éprouvez un fréquent besoin d’uriner doit être prise en considération, surtout si vous présentez d’autres symptômes courants du cancer de l’ovaire tels que des ballonnements abdominaux, une perte d’appétit ou des douleurs pelviennes et/ou abdominales. Si vous présentez l’un de ces symptômes, il est toujours préférable de prendre rendez-vous avec votre médecin ou votre gynécologue le plus tôt possible.
Un tableau du poids idéal pour les femmes selon leur morphologie et leur taille



Le tableau du poids idéal pour les femmes selon leur morphologie et leur taille

L’une des questions que se posent beaucoup de femmes est la suivante : « combien devrait être mon poids idéal ? » Cependant, il y a une grande différence entre le poids désiré et le poids idéal. Alors que le poids désiré peut souvent être malsain, le poids idéal est celui dont votre corps a besoin pour une fonction optimale. Dans cet article vous saurez votre poids idéal et comment le calculer !
Certains professionnels de la santé suggèrent que le calcul de votre indice de masse corporelle (IMC) est la meilleure façon de décider si votre poids corporel est idéal.

Il est bon de rappeler que le poids idéal d’une personne peut être complètement différent de celui d’une autre. Si vous vous comparez à votre famille et à vos amis, vous risquez soit de viser trop haut ou trop bas.

Comment est déterminé le poids ?
Votre taille, votre sexe, votre composition de graisse et de muscle et votre ossature sont tous des facteurs qui entrent en considération dans votre poids idéal. Il existe différents outils pour vous aider à connaitre celui-ci. L’un des plus populaires est l’IMC. Il utilise une formule qui implique votre taille et votre poids.

Pour calculer votre IMC, divisez votre poids en kilos par votre taille en mètres au carré. 
IMC = poids/taille au carré 
Par exemple si vous pesez 60 kilos et mesurez 1m65, votre  IMC est le suivant : IMC = 60/ (1,65 x 1,65) = 20,06 
Une fois que vous connaissez votre IMC, consultez ceci pour déterminer où se il situe :

Poids insuffisant : en dessous de 18,5
Normal : entre 18,5 et 24,9
En surpoids : entre 25,0 et 29,9
Obèse : Supérieur à 30
Bien que cette méthode offre un bon point de départ, votre IMC peut ne pas toujours être la mesure la plus précise de votre poids idéal. Pourquoi ? Cela revient à des facteurs comme la morphologie, la composition musculaire et votre âge.

Les athlètes, par exemple, peuvent peser plus en raison de la masse musculaire élevée et obtenir un résultat en surpoids. Par contre, les adultes plus âgés ont tendance à stocker plus de matières grasses que les adultes plus jeunes.

Il existe un tableau dédié aux femmes, et qui détermine le poids idéal selon la taille et les différents types de morphologies.

Tableau du poids idéal pour les femmes
Image :

Conseils pour gérer et maintenir un poids sain
Garder un poids sain peut demander beaucoup de travail, mais cela en vaut la peine. Non seulement vous vous sentirez mieux, mais vous pourrez également prévenir les maladies liées à l’obésité, comme :

Hypertension
Maladie de l’artère coronaire
Diabète de type 2
Maladie cardiaque
Si vous souhaitez maintenir un poids idéal, voici quelques étapes clés à suivre :

Mangez équilibré : Un quart de votre assiette devrait contenir une portion de protéines maigres, comme du poisson ou du blanc de poulet. Un autre quart de votre assiette devrait contenir une portion de graines entières, comme du riz brun ou du quinoa. La dernière moitié de votre assiette doit contenir des légumes, tels que le chou frisé, le brocoli, les poivrons, etc.

Mangez le petit déjeuner et ne sautez pas les repas : Votre corps a besoin d’une nutrition constante tout au long de la journée pour fonctionner à son meilleur niveau. Sans carburant approprié, vous ne vous sentirez pas bien et votre corps ne fonctionnera pas efficacement.

Mangez plus de fibres : Les femmes devraient consommer 25 à 30 grammes de fibres par jour. Elles sont indispensables pour avoir une bonne digestion et procurent une sensation de satiété rapide réduisant ainsi votre appétit.

Bougez : Il est recommandé de faire 150 minutes d’activité physique modérée par semaine comme la marche, ou 75 minutes par semaine d’activité plus soutenue, comme la course ou le vélo.

Buvez plus d’eau : Les femmes devraient prendre neuf verres d’eau chaque jour. L’eau est la meilleure boisson en plus de contenir 0 calorie.
Une lotion faite maison pour nettoyer et blanchir la peau


l n’y a rien de mieux qu’une lotion faite maison pour nettoyer la peau du visage. Celle que nous vous proposons est composée d’ingrédients entièrement naturels.

A base de feuilles de persil et de citron ou de vinaigre de cidre, cette lotion aide à nettoyer votre visage des taches noires, des taches de rousseurs et à blanchir la peau en lui donnant un aspect lisse et sain.
Le persil est riche en minéraux et vitamines. Son jus contient des huiles essentielles à forte teneur en potassium et manganèse. En cosmétique, il a toujours été utilisé pour ses propriétés régénératrices et blanchissantes.

Le persil aide à éliminer comédons et acné. C’est un excellent soin pour le contour des yeux. Il est utilisé comme remède pour les maladies des voies urinaires, l’impuissance, la fièvre, l’inflammation des yeux, le diabète et les maladies rénales. Il élimine gonflement, irritation et rougeur. Le persil rafraîchit et blanchit la peau.

Vous pouvez préparer une lotion de feuilles de persil facilement et l’utiliser quotidiennement comme soin facial.

Ingrédients :

200 ml d’eau
1 cuillère à café de vinaigre de cidre de pomme ou jus de citron
2 cuillères à soupe de feuilles de persil coupées
Préparation :

Mettez les feuilles de persil dans 200 ml d’eau bouillante et faites cuire sur feu doux durant 15 minutes. Laissez refroidir. Ajoutez ensuite le vinaigre de cidre ou le jus de citron puis conservez au réfrigérateur dans un récipient en verre.

Utilisation :

Utilisez la lotion chaque matin et chaque soir avant d’aller au lit. Cette lotion faite maison nettoie parfaitement, serre les pores et blanchit le visage.

Grâce aux propriétés uniques du persil, cette lotion aide à éliminer les taches sombres, les taches de rousseur et redonne un teint clair et brillant.

Avec une utilisation quotidienne durant un mois, les taches disparaîtront du visage.

Une lotion pour les yeux

Vous pouvez l’utiliser sur vos yeux ! Si vous voulez vous débarrasser des cernes et de la rougeur des yeux, préparer la même lotion, mais sans ajouter le jus de citron.
Prenez une gaze, trempez-la dans la lotion et mettez-la sur vos yeux, matin et soir. Laissez agir 5 minutes. Vos yeux seront soulagés.
Les gens qui pètent devant leur compagnon ont une relation amoureuse plus forte



Les gens qui pètent devant leur compagnon
Péter est une fonction naturelle du corps humain que nous évitons de faire en public ou devant notre être cher. Parce que nous voulons toujours montrer le meilleur de nous-même pour continuer à séduire notre partenaire. Cependant, dès que nous franchissons l’étape de la période passionnelle d’une relation, nous commençons à nous sentir beaucoup plus à l’aise en présence de l’autre et chacun de nous laisse ses particularités et ses habitudes refaire surface.
Péter ou ne pas péter, telle est la question ! 
Péter est tout à fait normal, aussi naturel que manger, pleurer, rire… c’est le fait d’expulser des gaz intestinaux, et c’est signe d’une bonne santé : un organisme qui ne pète pas ne fonctionne pas. Donc lorsque nous ressentons cet énorme besoin de « lâcher une perle », nous devons tout simplement le faire. 

Un pet est souvent perçu comme une extrême impolitesse et un manque de savoir-vivre dans certaines cultures. Cependant, Leah Decesare, auteure du livre Naked Parenting a étudié les secrets d’une relation durable et a découvert qu’elle repose sur la confiance et la sincérité. Dans une relation amoureuse, il faut être fidèle à soi-même et aussi naturel que possible. Dans son livre, Decesare raconte que son premier pet expulsé en présence de son mari, petit ami de l’époque, a changé leur relation à jamais. C’est à ce moment-là que son mari a su qu’il voulait passer le reste de sa vie avec elle. « On doit à tout prix se retenir devant les autres, mais péter devant votre partenaire ne devrait poser aucun problème » explique Decesare. Ça rend plus humain, crée de l’empathie et renforce le lien entre le couple. Dites-vous que si vous vous permettez de péter devant votre conjoint(e), chose que vous n’oserez pas faire en public, c’est que vous vous sentez tellement à l’aise.

Une véritable intimité dans le couple 
Lorsque vous et votre partenaire riez à pleines dents d’un gros pet, cela veut clairement dire que vous avez le même sens de l’humour. Vous créez des situations et des blagues que vous êtes les seuls à comprendre et vous mettez en place une sorte de communication secrète.

D’un autre point de vue, le pet symbolise tous les secrets qu’une personne garde en elle lorsqu’elle débute une nouvelle relation amoureuse. Autrement dit, si vous n’avez absolument pas honte de vos flatulences, qu’avez-vous d’autres à cacher ? C’est un cap à franchir lorsque nous nous sentons prêts. C’est à ce moment-là que nous pouvons nous permettre de nous lâcher, de ne plus rien cacher, de nous libérer, et de passer notre relation à l’étape supérieure. 

Péter c’est bon pour la santé 
Retenir ses pets est fortement déconseillé. Cela entraine l’accumulation des gaz dans les intestins qui exercent une forte pression sur leurs parois. À la longue, des douleurs intenses apparaissent et laissent apparaitre des troubles digestifs fréquents. Alors si vous passez votre temps à vous retenir en public, essayez de le faire le moins possible. Trouvez des coins isolés où vous pourrez vous soulager. 

Péter c’est sexy 
Croyez-le ou non, de nombreux experts soutiennent cette affirmation. C’est le nouveau sexy ! Pour eux, le fait d’être attiré par notre partenaire transpirant après une session de sport par exemple, équivaut au fait de savoir qu’il nous appartient, pets compris. Ça peut paraitre indélicat mais un grand nombre de personnes en couple le confirment. Il n’y a rien de plus intime que de partager tous les moments, même les plus « indélicats », avec nos conjoint(e)s.

N’hésitez pas alors à montrer à quel point vous êtes à l’aise avec votre moitié, il se peut que lâcher un petit pet en sa présence soit la seule chose qu’il vous reste à faire pour marquer le début d’une longue relation heureuse. 
  • 10:05

Le Centre de crise le confirme: «Les chances sont grandes que le coronavirus devienne un virus qui va revenir chaque saison»



Les chances sont grandes que l’on reparle du coronavirus dans les prochaines années. Mais cela n’est pas anormal…


Ce mardi matin, lors de la traditionnelle conférence de presse, les spécialistes du Centre de crise ont été interpellés sur les risques de voir le coronavirus devenir cyclique, comme la grippe.

La possibilité est réelle, comme l’a expliqué Emmanuel André, porte-parole interfédéral coronavirus : « Nous savons que d’autres coronavirus, qui sont responsables d’infections plus légères chez l’homme et que nous suivons déjà depuis plusieurs années, ont des pics dans la période hivernale », a-t-il raconté.

« Nous ne savons pas encore si ce sera le même type de cycle avec ce coronavirus, mais c’est tout à fait possible que ce virus revienne de manière régulière. C’est pour ça que l’ensemble des efforts que nous faisons aujourd’hui dans notre vie quotidienne, mais aussi les efforts qui sont faits dans les laboratoires de recherche pour trouver des vaccins et des nouveaux médicaments, sont tout aussi importants pour pouvoir se préparer à ces prochains pics et pour pouvoir protéger au maximum notre population », a-t-il conclu.

Steven van Gucht, un autre porte-parole, a répondu dans le même sens : « Les chances sont grandes que ce virus devienne un virus qui va revenir chaque saison », a-t-il confirmé. « Ce n’est, en principe, pas grave, car nous pensons que ce virus va se présenter, au fur et à mesure des années, comme la grippe. Une grande partie de la population sera immunisée, donc les conséquences de ce virus seront moins graves ».

Un vaccin potentiel contre le coronavirus “génère assez d’anticorps pour combattre le virus”



Un million de cas de contamination. C’est le nouveau bilan recensé à l’heure où la pandémie de coronavirus continue de se propager dans les quatre coins du monde. Avec des chiffres qui explosent aux Etats-Unis et un pic attendu dans les prochains jours en France, les données se font inquiétantes quant à la maladie qui touche aujourd’hui près de 180 pays. Alors qu’un tiers de la planète vit désormais en confinement, les chercheurs continuent, quant à eux, d’explorer différentes pistes pour tenter de mettre fin à cette crise sanitaire d’envergure mondiale. A Pittsburgh, dans l’ouest de la Pennsylvanie, des scientifiques américains ont annoncé qu’un vaccin potentiel contre le coronavirus aurait montré des résultats prometteurs sur des souris. L’information a été relayée par Reuters.
Les résultats ont été annoncés ce jeudi par l’équipe de chercheurs de l’école de médecine de l’université de Pittsburgh, aux Etats-Unis. Ces derniers auraient été en mesure de progresser assez rapidement en raison de précédentes recherches menées sur le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV) et le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV). Andrea Gambotto, professeure associée à Pittsburgh explique que les informations obtenues leur “ont enseigné qu’une protéine spécifique, appelée protéine de pointe, est importante pour induire une immunité contre le virus” avant d’ajouter “Nous savions exactement où chercher pour combattre ce nouveau virus”.

“Assez d’anticorps pour contrer le virus”
Le vaccin testé sur des rongeurs aurait démontré une capacité à produire une réponse immunitaire contre le nouveau coronavirus, à des niveaux susceptibles de prévenir l’infection, selon les scientifiques. Ce prototype de vaccin a été nommé PittCoVacc et aurait généré suffisamment d’anticorps en deux semaines pour combattre le Covid-19.

Les chercheurs restent tout de même prudents et soulignent que les rongeurs n’ayant pas été suivi pendant assez longtemps, il est encore trop tôt pour savoir si la réponse immunitaire contre le virus va durer et pour combien de temps elle pourrait se prolonger.

Ils révèlent  également que des tests similaires menés sur des souris avaient démontré que leur vaccin expérimental contre le MERS avait produit suffisamment d’anticorps pour neutraliser le virus pendant au moins un an, ajoutant que pour l’heure, “les niveaux d’anticorps des animaux vaccinés contre le SARS-CoV-2 semblent suivre la même tendance”, rapporte Reuters en faisant référence à l’étude publiée dans la revue médicale Lancet.

L’espoir des scientifiques
Si les résultats semblent encourageants, des essais cliniques humains doivent encore être menés pour confirmer l’efficacité du candidat-vaccin. Ce dernier se présenterait sous forme de patch, à placer sur le doigt. Interrogé par CBS Pittsburgh, le Dr Louis Falo, co-auteur de l’étude explique que ce dispositif “ressemble à un pansement avec des centaines de petites aiguilles (…) dans lesquelles on incorpore directement le vaccin”. Pour le scientifique, il s’agirait d’une “approche sûre” qui n’inclut “aucun saignement ou douleur puisque les aiguilles ne sont pas assez longues pour atteindre la circulation ou les nerfs”. Ces micro-aiguilles feraient la largeur d’un cheveu humain et un demi-millimètre de longueur, peut-on lire sur le site américain.

mini seringue
Le Dr Falo confie par ailleurs qu’ils ont déjà entamé la procédure pour obtenir l’autorisation de la Food and Drug Administration (FDA) pour une première phase d’essais cliniques humains, mais que ce processus est long et peut durer plusieurs années. Selon Reuters, l’équipe de Pittsburgh espère pouvoir commencer dans les prochains mois.

En outre et à l’heure où le monde entier semble s’être lancé dans une course effrénée pour un traitement ou un vaccin contre le Covid-19, le Dr Falo souligne que la seule compétition qui existe aujourd’hui est la compétition avec la pandémie. Pour le scientifique, il est indispensable de privilégier la collaboration des chercheurs en concluant “le véritable ennemi ici, c’est le virus”.

3 recettes minceurs pour maigrir sans effort



1-Pétoncles rôtis aux épices minceur

4 portions • préparation : 15 minutes • cuisson : 10 minutes
Ingrédients
Patates douces
385 g (2 3/4 tasses) de patates douces, pelées et coupées en rondelles de 5 mm (1/4 po) d’épaisseur
2 c. à café d’huile d’olive
2 c. à café de graines de cumin
2 c. à café de graines de fenouil
1 c. à café de paprika doux
454 g (1 lb) de pétoncles 20-30

Yogourt aux épinards 
195 g (3/4 tasse) de yogourt grec nature 0 % M.G.
15 g (1/2 tasse) d’épinards hachés
2 c. à café de poudre de cari
3 oignons verts, ciselés finement
2 c. à soupe de coriandre fraîche hachée
Le jus de ¼ citron

Préparation
Préchauffer le four à 190°C (375°F).
Dans un bol, enrober les patates douces d’huile. Ranger sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin et cuire au centre du four pendant 8 à 10 minutes.
Entre-temps, à l’aide d’un mortier ou d’un moulin à épices, broyer grossièrement les graines de cumin et de fenouil (ne pas réduire en poudre).
Dans un bol, mélanger les épices broyées avec le paprika.
Sur un plan de travail, parsemer les pétoncles d’épices.
Ranger sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin et cuire au centre du four pendant les 4 à 5 dernières minutes de cuisson des patates.
Dans un bol, mélanger tous les ingrédients du yogourt aux épinards.
Servir avec les pétoncles et les patates douces.

Accompagnement: servir avec une salade au choix.

Valeur nutritive par portion (% besoins quotidiens)
Calories 250
Lipides 4 g 6 %
Saturés 0,5 g 3 %
+ trans / Trans 0 g
Polyinsaturés 0,5 g
Oméga-6 0,4 g
Oméga-3 0,3 g
Mono-insaturés 2 g
Cholestérol 40 mg 13 %
Sodium 250 mg 10 %
Potassium 850 mg 24 %
Glucides 27 g 9 %
Fibres 4 g 16 %
Sucres 5 g
Protéines 26 g
Vitamine A 1062 ER 110 %
Vitamine C 18 mg 30 %
Calcium 140 mg 10 %
Fer 3 mg 20 %
Phosphore 324,1 mg 30 %

2-Ragoût de veau à la sicilienne pour perdre du poids sans frustration

4 portions • préparation :  20 minutes • cuisson :  1 heure 30 minutes

Ingrédients
1 c. à soupe d’huile d’olive
1 oignon, haché
454 g (1 lb) de veau maigre haché
3 gousses d’ail, hachées
1 carotte, en brunoise
1 courgette non pelée, en brunoise
2 c. à café de graines de fenouil
1 c. à soupe d’origan séché
1 c. à soupe de flocons de piment broyés
125 ml (1/2 tasse) de vin rouge
3 c. à soupe de pâte de tomates
625 g (2 ½ tasses) de tomates en dés en conserve
180 ml (3/4 tasse) d’eau
1 courge spaghetti moyenne
Quelques brins d’origan frais, pour la décoration

Préparation
Préchauffer le four à 180°C (350°F).
Dans une casserole, à feu moyen vif, chauffer l’huile et faire revenir l’oignon et la viande pendant 5 minutes.
Ajouter l’ail, la carotte, la courgette, le fenouil, l’origan et le piment. Cuire pendant 4 minutes.
Incorporer le vin et la pâte de tomates,puis poursuivre la cuisson pendant 2 à 3 minutes. Ajouter les tomates et l’eau.
Couvrir et laisser mijoter à feu doux pendant 40 à 45 minutes en remuant de temps à autre.
Entre-temps, couper la courge en deux sur la longueur et retirer les graines. Poser les moitiés de courge, l’intérieur vers le bas, sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin et cuire au centre du four pendant environ 30 minutes.
À l’aide d’une fourchette, effilocher la chair en spaghettis. Servir la courge avec le ragoût et décorer d’origan.

Accompagnement: servir le ragoût avec une salade au choix.

Valeur nutritive par portion (% besoins quotidiens)
Calories 320
Lipides 12 g 18 %
Saturés 4 g 20 %
+ trans / Trans 0 g
Polyinsaturés 1,5 g
Oméga-6 1 g
Oméga-3 0,2 g
Mono-insaturés 5 g
Cholestérol 95 mg 32 %
Sodium 520 mg 22 %
Potassium 1380 mg 40 %
Glucides 26 g 9 %
Fibres 6 g 24 %
Sucres 12 g
Protéines 26 g
Vitamine A 338 ER 35 %
Vitamine C 55 mg 90 %
Calcium 137 mg 10 %
Fer 3,5 mg 25 %
Phosphore 353,6 mg 30 %

3-Recette minceur de lasagne de courgettes aux fruits de mer pour maigrir sans se priver

6 portions • préparation : 20 minutes • cuisson : 30 minutes

Ingrédients
4 courgettes, en fines tranches
2 c. à soupe d’huile d’olive
1/4 bulbe de fenouil, en dés
1/2 poivron rouge, épépiné et coupé en dés
1/2 oignon rouge, en dés
3 gousses d’ail, hachées finement
1 c. à café de graines de fenouil entières
2 c. à café d’origan séché
6 c. à soupe de vin blanc sec
2 c. à soupe de pâte de tomates
375 ml (1 1/2 tasse) de coulis de tomate ou de sauce tomate maison
300 g (10 oz) de fruits de mer frais variés (crevettes, pétoncles, moules, etc.)
170 g (2/3 tasse) de ricotta 5 % M.G.
120 g (1 tasse) de fromage mozzarella râpé

Préparation
Préchauffer le four à 180°C (350°F).
Étaler les tranches de courgettes sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin. À l’aide d’un pinceau, badigeonner de 1 c. à soupe d’huile. Cuire au centre du four pendant 5 à 6 minutes.
Entre-temps, dans une casserole, à feu moyen, chauffer 1 c. à soupe d’huile et faire revenir le fenouil avec le poivron, l’oignon, l’ail, les graines de fenouil et l’origan pendant 3 à 4 minutes. Déglacer au vin blanc. Ajouter la pâte et le coulis de tomate, puis porter à ébullition. Incorporer les fruits de mer et poursuivre la cuisson pendant 4 minutes.
Mettre une couche de courgettes au fond d’un plat de cuisson graissé de 23 x 23 cm (9 x 9 po) à hauts rebords.
Couvrir avec 1,25 cm (1/2 po) de sauce aux fruits de mer, puis étaler la ricotta.
Répéter l’opération jusqu’à épuisement des ingrédients. Couvrir de fromage et cuire au centre du four pendant 14 à 15 minutes.

Note: Au besoin, vous pouvez substituer les courgettes par des pâtes alimentaires, mais ce faisant, vous augmenterez considérablement le nombre de calories et glucides de cette recette.

Valeur nutritive par portion en utilisant des courgettes en fines tranches (% besoins quotidiens)
Calories 280
Lipides 13 g 20 %
Saturés 6 g 31 % + trans / Trans 0,1 g
Polyinsaturés 1,5 g
Oméga-6 1 g
Oméga-3 0,5 g
Mono-insaturés 6 g
Cholestérol 105 mg 35 %
Sodium 570 mg 24 %
Potassium 1060 mg 30 %
Glucides 19 g 6 %
Fibres 4 g 16 %
Sucres 8 g
Protéines 22 g
Vitamine A 207 ER 20 %
Vitamine C 64 mg 110 %
Calcium 292 mg 25 %
Fer 3,4 mg 25 %
Phosphore 360,7 mg 35 %

Quels sont les bienfaits du jeûne ?



Dans une société de surconsommation où l’abondance alimentaire laisse place à diverses incitations irrationnelles, certains se tournent vers le jeûne pour optimiser leur bien-être. Qu’il s’agisse d’un besoin religieux ou d’une pratique thérapeutique, le jeûne fait de plus en plus parler de lui pour ses multiples bienfaits. Démêlons le vrai du faux.
Maladies cardiovasculaires, diabète, surpoids ou obésité sont autant de risques liées à la surconsommation alimentaire. En connaissance de cause, de nombreuses personnes ont décidé de changer leurs habitudes alimentaires et d’opter pour un jeûne ponctuel.
En outre, cette pratique a inspiré de nombreux chercheurs. En 2016, Yoshinori Ohsumi, professeur à l’institut de technologie de Tokyo a reçu le Prix Nobel de physiologie et de médecine pour ses travaux sur l’autophagie. Un mécanisme qui s’appuie sur le jeûne pour permettre aux cellules de l’organisme de se réparer et de maintenir leurs fonctions, comme l’explique Patricia Lemarchand, enseignante-chercheuse au CHU de Nantes à France Culture.
En effet, si le jeûne fait autant parler de lui, c’est surtout parce qu’il permet de faire une pause et de laisser son organisme se reposer. Cependant, il est important de souligner que le jeûne ne peut être pratiqué trop longtemps, au risque de mener à une dénutrition et à la perte de la masse musculaire. Ainsi, le Dr Jean-Michel Cohen, spécialiste en nutrition, recommande le jeûne de courte durée, afin d’éviter tout danger pour la santé.

Plusieurs façons de jeûner :
Si le jeûne est une pratique très répandue, chacun s’y prend à sa manière pour l’adapter à sa routine.

1.Le jeûne de 24 heures :

Ce type de jeûne consiste à ne pas s’alimenter pendant toute une journée, soit 24 heures. Ainsi, la personne peut prendre son petit déjeuner, puis passer le reste de la journée sans manger et reprendre son alimentation le lendemain à la même heure.

2.Le jeûne séquentiel :

Ce jeûne consiste à ne plus s’alimenter pendant 12 à 16 heures et à s’octroyer une plage horaire de 8 heures où l’on peut manger, comme l’explique le Dr Saldmann, cardiologue nutritionniste. En pratique, la personne peut sauter le petit-déjeuner, et manger de midi à 20 heures. Néanmoins, elle peut boire durant la période de jeûne de l’eau, du café, du thé et tout autre boisson non calorique pour combler la faim.

3.Le régime 5 :2 :

Cette méthode, qui correspond au jeûne intermittent, consiste à s’alimenter normalement 5 jours par semaine, et à restreindre son apport alimentaire à 500 calories pour les femmes et à 600 pour les hommes pendant 2 jours. Ainsi, la personne choisit les deux jours de la semaine qui lui conviennent pour pratiquer cette diète.

Les bienfaits du jeûne sur le corps

Vous l’aurez compris, le jeûne est une pratique qui s’adapte aux capacités, aux envies et aux bienfaits escomptés par chacun. Voici les avantages du jeûne sur le corps :

1.Booste la perte de poids

Certaines personnes décident de jeûner pour perdre du poids et retrouver une silhouette plus harmonieuse. Selon une étude, la restriction alimentaire participe à l’augmentation de la dépense énergétique au repos. En effet, pendant un jeûne, le corps sécrète de la noradrénaline, une hormone qui stimule le métabolisme au repos et qui réduit les graisses corporelles.

2.Améliore le taux de glycémie

Dans une expérience scientifique réalisée sur des personnes souffrant de diabète de type 2, le jeûne intermittent a permis de réduire significativement le taux de glycémie. Ainsi, même si des recherches supplémentaires sur le sujet s’avèrent nécessaire, le jeûne intermittent pourrait représenter une approche préventive du diabète de type2.

3.Réduit le risques de maladies inflammatoires

Quand on cesse de s’alimenter pendant plusieurs heures, les marqueurs inflammatoires affichent des taux plus bas. Ainsi, un jeûne intermittent réduit le risque de souffrir d’un syndrome inflammatoire et ce, tout en réduisant le taux de graisses dans le corps.

4.Prend soin du cœur

Un taux élevé de cholestérol ou une hypertension artérielle sont autant de facteurs qui peuvent provoquer des maladies cardiovasculaires. Mais une étude montre qu’un jeûne de 3 semaines sous surveillance médicale a permis de réduire la pression artérielle et du taux de cholestérol chez des personnes obèses.

5.Améliore les performances cognitives

Le jeûne intermittent a fait ses preuves in-vivo pour améliorer certains processus cognitifs. Ainsi, jeûner pendant quelques heures peut être bénéfique pour améliorer les fonctions cérébrales et booster les mécanismes d’apprentissage et de mémorisation.

6.Aide à vivre plus longtemps

Si le jeûne est de plus en plus pratiquée dans les quatre coins du monde, c’est pour tous les avantages qu’il offre à l’organisme. Selon les scientifiques, la restriction alimentaire imposée lors d’un jeûne favorise la longévité. Dans un article du Dr Saldmann relayé par RTL, ce dernier explique que le jeûne séquentiel stimulerait 

9 conseils de nutritionnistes pour rééquilibrer votre alimentation et perdre du poids



Plusieurs personnes développent l’envie de perdre du poids, mais ne savent pas comment s’y prendre. Elles se ruent sur des régimes restrictifs pour y arriver en un moindre délai. Mais ces régimes causent souvent des carences alimentaires et favorisent la reprise de poids par la suite. Voici pour vous, un guide d’alimentation et d’exercice physique pour retrouver la ligne de façon saine.
Il ne s’agit pas d’une privation excessive, mais plutôt d’un rééquilibrage alimentaire, pour vous ressourcer en bon nutriments tout en perdant du poids. Avec un peu de motivation et de l’exercice physique, vous y arriverez sans difficulté.

Voici les recommandations du collège australien de nutrition pour un régime sain
Céréales
Ne lésinez pas sur les céréales entières. Selon une étude, elles ont un effet bénéfique quant aux mécanismes de synthèse d’insuline, ce qui permet de réduire la lipogenèse et le stockage excessif des graisses. Favorisez les flocons d’avoine pour votre petit-déjeuner, le riz brun et le quinoa, ainsi que le boulgour pour vos plats de résistance.

Fibres
Enrichissez votre alimentation de fibres, en consommant plus de légumes, notamment des légumes verts. Ces derniers sont utiles pour stabiliser le poids, réduire la quantité de graisses dans le corps et augmenter le sentiment de satiété. Une aide considérable pour réduire vos envies de manger entre les repas.

Graisses
Vous auriez tort de croire que toutes les graisses sont néfastes pour votre organisme. Il y en a aussi des bonnes, et qui sont nécessaires pour le maintien de votre état de santé. Des graisses provenant d’avocat, d’huile de coco ou encore du chocolat noir, vous conféreront plus de satiété. Elles permettent de limiter l’assimilation des glucides tout en ajoutant plus de goût à votre alimentation.

Noix
Prenez des noix pour faire face au petits creux entre les repas. Elles font partie des bonnes graisses que vous devrez incorporer à votre régime pour des collations saines qui n’induisent pas une prise de poids. Selon un article publié par The American Journal of Clinical Nutrition, la consommation quotidienne d’une poignée de noix pourrait faire partie d’un régime sain pour lutter contre l’obésité.

Protéines
Adoptez les protéines maigres comme le blanc de poulet pour compléter les bienfaits de votre régime. Ceci vous aidera à maintenir votre masse musculaire, pendant que vous réduisez la masse adipeuse.

Guide d’exercice physique
Il est vrai que ceci est la partie la moins glamour pour toute personne désirant perdre du poids. Néanmoins, il suffit d’un peu de motivation et de savoir s’y prendre de la bonne façon: 

La sédentarité
La sédentarité est l’ennemi numéro 1 de la perte de poids. Même si votre mode de vie vous y encourage, essayez de trouver de petites occasions pour vous dépenser physiquement. Prenez l’escalier au lieu de l’ascenseur si vous habitez au troisième étage, faites le ménage, ou une petite séance de marche rapide en promenant votre chien. L’essentiel étant de rester actif.

Le cardio
Adoptez les exercices de cardio. Oui cela peut paraître fastidieux, et peut vous amener à vous décourager facilement. Mais dites vous bien que c’est le moyen le plus rapide pour brûler des calories. Cela renforce vos capacités cardio-vasculaires et vous protège d’un cortège de maladies qui peuvent vous impacter avec l’âge. Commencez par des exercices à intensité modérée, puis augmentez-là au fur et à mesure, pour éviter de vous faire mal durant l’exercice.

La marche
Il ne faut pas sous-estimer la marche non plus. Une étude longue de 12 semaines a permis d’examiner l’effet de séances de marche sur des personnes atteintes d’obésité. Il en a résulté une perte de poids, moins de graisses corporelle et un tour de taille moins important. Vous pouvez commencer par marcher 30 minutes par jour, un jour sur deux, pour vous aider à adopter la cadence. Par la suite vous pouvez procéder à un rythme de 45 minutes par jour, 5 jour par semaine. La marche n’aura pas qu’un effet sur votre poids corporel, mais également sur votre santé mentale. Il a été prouvé que la marche permet d’améliorer votre humeur et d’évacuer le stress que vous auriez pu accumuler durant la journée. Cela vous confère également une meilleure qualité de sommeil et une amélioration de votre libido.
Le manque de sommeil peut vous tuer : ce qui arrive à votre corps quand vous dormez moins de 7 heures


Saviez-vous que bien dormir était primordial pour prendre soin de votre santé physique et psychique ? En effet, le sommeil est un phénomène naturel qui permet d’optimiser l’ensemble de nos fonctions biologiques. Si un sommeil réparateur s’avère crucial pour assurer notre bien-être, certains font l’expérience de nuits courtes ou perturbées. Selon une étude relayée par France Info, plus de 30% de la population dormirait même moins de 6 heures par nuit. Sur le long terme, ce manque de sommeil peut se répercuter sur leur qualité de vie et nuire à leur santé.
Face à un quotidien de plus en plus stressant, l’organisme requiert plus que jamais un sommeil réparateur. Seulement, les ruminations, l’anxiété et les habitudes malsaines empêchent le corps de se reposer et de régénérer ses cellules. Or, une étude réalisée par Santé Publique France indique que les Français dorment de moins en moins. Ainsi, un individu dormirait en moyenne 6 heures et 42 minutes par nuit.

Les conséquences d’une nuit trop courte se manifestent pendant la journée, entraînant souvent une humeur exécrable, une baisse de la vigilance et de l’énergie. Découvrez ce qui arrive à votre organisme lorsque vous ne dormez pas assez.

Les conséquences du manque de sommeil
Selon l’Inserm, 1 Français sur 3 est concerné par des troubles de sommeil. Un rythme de vie effréné, un stress permanent ou encore une utilisation excessive des écrans le soir, peuvent perturber les rythmes circadiens et empêcher de bien dormir. Malheureusement, une carence en sommeil aura des conséquences délétères sur la santé :

Le surpoids

De nombreuses personnes suivent scrupuleusement un régime pour mincir mais se heurtent à des échecs permanents. Et si la raison était le manque de sommeil ? En réalité, plusieurs recherches ont mis en avant une étroite corrélation entre la prise de poids et des heures de sommeil insuffisantes. Selon une étude publiée par PLOS Medicine, des nuits courtes peuvent réduire la sécrétion de la leptine, hormone liée à la satiété tout en favorisant la libération de la ghréline, hormone associée à la faim. Ainsi, les personnes qui manquent de sommeil peuvent se confronter à une augmentation de l’appétit, qui pourrait se traduire par un surpoids sur le long terme.

Le diabète

Le diabète est une maladie chronique qui apparaît lorsque le taux de sucre dans le sang reste anormalement élevé. Selon la Fédération Française des Diabétiques, un sommeil insuffisant peut entraîner une dérégulation du métabolisme des glucides, entraînant une “baisse de 50% de l’action de l’insuline et une baisse de 30% de la quantité d’insuline produite”. A terme, cela peut aggraver l’état de santé d’une personne diabétique ou présenter un terrain propice à l’apparition de la maladie.

La baisse du système immunitaire

Lorsqu’une personne a un système immunitaire fort, les cellules immunitaires de l’organisme parviennent à lutter contre certains agents pathogènes qui menacent la santé. Une réponse immunitaire optimale permettrait alors de mieux se défendre contre les infections et les maladies courantes. Mais pour que les cellules de l’organisme puissent agir efficacement, un sommeil réparateur est de mise. Comme l’explique le Dr Eric J. Olson de la Mayo Clinic, un manque de sommeil peut réduire la réponse immunitaire de l’organisme et rendre une personne vulnérable face à certaines pathologies.

Les maladies cardiovasculaires

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les maladies cardiovasculaires sont la première cause de décès dans le monde. A cet effet, le Pr Thomas de l’hôpital La Pitié-Salpêtrière à Paris explique que la prévention sur le long-terme est essentielle en adoptant les bons gestes au quotidien, et cela inclut un meilleur sommeil. Interrogée par France Info, le Dr Sylvie Royant-Parola, psychiatre et présidente du réseau Morphée révèle que “pendant que l’on dort le cœur ralentit, ce qui permet d’économiser notre système cardiovasculaire et de réduire le risque d’hypertension, d’infarctus ou encore d’AVC”.


La baisse de la vigilance, de l’attention, de la mémoire

Pour être productif au travail et assurer ses diverses tâches du quotidien, il faut s’assurer de dormir suffisamment pendant la nuit. Les études portant sur ce sujet sont sans appel : le manque de sommeil altère les fonctions cognitives et entraîne une baisse de la vigilance, l’attention et la mémoire. Une information que vient confirmer le Pr Damien Léger, responsable du centre du sommeil à l’hôpital de l’Hôtel-Dieu à Paris.

Les troubles de l’humeur

Les personnes qui ne dorment pas assez peuvent faire l’expérience du stress, de l’irritabilité et des sautes d’humeur. Comme l’indique la Fondation du Sommeil, les troubles du sommeil peuvent causer une anxiété permanente et déboucher sur une dépression sur le long terme.
Coronavirus : Les dermatologues alertent contre les nouveaux symptômes du covid-19


Depuis l’apparition du nouveau coronavirus, dénommé Sars-CoV-2, en Chine, plusieurs scientifiques se sont penchés sur une analyse approfondie de cet agent pathogène. Mobilisés contre ce virus émergent, les chercheurs se sont mis en ordre de bataille en vue d’apporter des réponses au grand public. Actuellement, les symptômes courants du Covid-19 semblent être connus de tous. Mais on en apprend régulièrement sur cette maladie nouvelle et les signes cliniques qui y sont corrélés. Dernièrement, les dermatologues ont remarqué que certains patients atteints du Covid-19 présentaient des symptômes cutanés. Explications avec le journal Le Parisien.
La pandémie actuelle a provoqué la mort de 80 142 personnes dans près de 192 pays, selon les derniers chiffres annoncés par l’Agence France-Presse. En sachant que le dépistage n’est pas toujours réalisé et que seuls les morts dans les hôpitaux sont comptabilisés, ce bilan ne compte qu’une fraction du nombre exact des contaminés. Face à ces chiffres alarmants, de nombreuses personnes s’adonnent à la recherche d’informations en vue de se protéger et de protéger leurs proches contre le coronavirus. Si les gestes barrières semblent efficaces pour endiguer l’épidémie, connaître les symptômes relatifs à la maladie s’avère de mise. Dans ce sens, les dermatologues ont alerté la population contre des signes cutanés observés chez des patients infectés par le Sars-Cov-2.

Le Covid-19 : plusieurs symptômes à distinguer
Il est communément admis que les symptômes du Covid-19 peuvent ressembler à ceux d’un simple rhume ou d’une grippe. “Écoulement nasal, fièvre, toux, courbature, fatigue”, détaille le Dr Pierre Parneix, médecin hygiéniste spécialiste de santé publique, confirmant ainsi que la similarité des symptômes peut porter à confusion. Selon Arnaud Fontanet, directeur du département de Santé globale à l’Institut Pasteur, “il est très difficile de faire la différence” entre la grippe et l’infection causée par le coronavirus. Les patients peuvent ressentir une fièvre, une sensation de courbature, une fatigue et une toux quelques jours plus tard. En sus, les maux de gorge, les maux de tête, les douleurs musculaires ainsi que la diarrhée ou la congestion nasale peuvent être des signes de la maladie, rapportent les médecins. Ce qui peut alarmer, c’est une sensation d’essoufflement qui peut être ressentie dans certains cas. En effet, si la maladie est difficile à détecter, c’est principalement parce que les signes cliniques peuvent varier d’un patient à l’autre. Néanmoins, la découverte de nouveaux symptômes relatifs au Covid-19 permet de mieux repérer l’infection virale. Dernièrement, la perte de l’odorat, accompagnée ou non d’une perte de goût, a été associée au Covid-19. Le Dr Alain Corré, médecin ORL à la Fondation Rothschild à Paris, explique que ce signe est spécifique à cette maladie émergente.

Les signes dermatologiques qui peuvent alerter
Outre les symptômes cités ci-dessus, les dermatologues alertent aujourd’hui sur des signes cutanés qui peuvent se manifester chez les porteurs du coronavirus. Dans un communiqué, le Syndicat national des dermatologues-vénéréologues (SNDV) lance une alerte après avoir observé des lésions cutanées chez les patients atteints du Covid-19. “Un groupe Whatsapp de plus de 400 dermatologues (libéraux et hospitalo-universitaires) organisé par le SNDV, a mis en évidence des lésions cutanées, associées ou non à des signes de Covid”, indique le communiqué relayé par Ouest France. “Il s’agit d’acrosyndromes (aspect de pseudo-engelures des extrémités), apparition subite de rougeurs persistantes parfois douloureuses, et des lésions d’urticaire passagères”, peut-on lire. Le DR Luc Sulimovic, dermatologue et président du SNDV, explique “c’est notamment le fait que les cas observés concernant des adolescents et des adultes jeunes qui nous alerte”. C’est ainsi qu’une alerte a été lancée le 30 mars pour faire appel à la vigilance des dermatologues. “Des signes cutanés à type de lésions maculopapuleuses érythémateuses – rougeurs cutanées – atteignant exclusivement le visage, ont été observés par le service de Dermatologie de l’hôpital Henri Mondor à Créteil chez trois patients (un enfant et deux adultes) ayant une infection très probable ou confirmée par Covid-19”, indiquent les médecins.

Catherine Oliveres-Ghouti, membre du syndicat des dermatologues, incite ceux ou celles qui présentent des signes cutanés à les prendre en photo et à les envoyer à leur dermatologue. Annick Barbaud, chef de service de dermatologie et Allergologie à l’Hôpital Tenon à Paris, précise que “il y’a peu de manifestations cutanées dans cette maladie”. Pour elle, il est important d’effectuer des biopsies et des sérologies pour analyser ces signes cutanés. Néanmoins, elle considère qu’il pourrait s’agir d’une “forme bénigne de la maladie”. Face à cette alerte lancée par les dermatologues, le directeur génér

signes que vous pourriez avoir eu le coronavirus avant l’épidémie – Symptômes inclus



Au gré de la propagation affluente du Covid-19, tous les moyens sont utilisés pour trouver les solutions les plus abouties et mettre un terme à ce « cauchemar ». Ainsi, les symptômes de la maladie sont de plus en plus cernés et perceptibles. Les différents symptômes du coronavirus comme la fièvre, toux, courbatures ou encore conjonctivite étant connus durant cette pandémie, toujours est-il que chez certaines personnes, ces éléments ont pu être manifestés bien avant l’aggravation du phénomène et la réactivité des médias. Zoom sur les différents symptômes qu’exposent nos confrères d’Ouest-France.
Un aspect surprenant de la maladie tient de son caractère imprévisible et de ce fait, plusieurs personnes auraient été atteintes depuis le début de cette année 2020, ce qui peut témoigner du fait qu’un bon nombre de cas aurait pu passer inaperçu. En outre, Il existe des symptômes bénins moins connus mais toutefois expérimentés par ceux ayant été atteints plus tard du coronavirus. Et c’est bien cette « banalité » inhérente à certains symptômes qui rend le virus aussi redoutable. C’est dans ce contexte que s’exclame Marianne Pauti, médecin généraliste à Paris quant à la maladie du Covid 19, « Les malades vont mieux un jour, le lendemain à nouveau mal. C’est très surprenant. En 25 ans d’exercice, je n’ai jamais vu ça ». À ce jour, voici la liste de symptômes que nous pouvons recenser.

Une perte de l’odorat et du goût
perte de gout et lodorat
L’anosmie constitue le signe le plus récemment repéré. Le Dr Alain Corré, ORL à l’Hôpital-Fondation Rothschild à Paris confie que les ORL avaient été contactés par plusieurs personnes clamant avoir ce même symptôme et ce au courant d’une même période. Il s’est alors avéré que suite à un test effectué avec le Dr Dominique Salmon sur une soixantaine de patient anosmiques, 90% auraient été positifs au Covid-19.

A ce stade-ci, le constat est suffisamment parlant pour considérer l’anosmie comme étant un signe clinique permettant à lui seul, d’établir un diagnostic. En partant de ce postulat, le Dr Corré se montre résolument catégorique en affirmant que « si vous avez une anosmie sans nez bouché, vous êtes Covid positif, ça n’est pas la peine d’aller vous faire tester ».

Le meilleur à faire dans le cas présent étant de s’isoler, le symptôme ne serait pas considéré comme étant grave.

Concernant la perte du goût, une nuance est à établir. Puisque 90% de la nourriture que nous consommons est liée à l’odorat, les personnes atteintes d’anosmie pensent avoir perdu le goût. Pour le moment, la perte de goût seule n’a pas été décrite.

Fièvre
grande fievre
L’un des symptômes les plus courants est l’augmentation de la température corporelle. Les poussées de fièvre entrainées par le Covid-19 sont généralement moins fortes qu’avec d’autres syndromes viraux. Dans certains cas, se présentent des manifestations de courbatures douloureuses et plus localisées, intrinsèques à une atteinte virale.

Fatigue et maux de tête
fatigue et maux de tete
Un épuisement sévère qui se traduit par une difficulté prononcée à bouger. C’est ce que remarque le Dr Pauti, « J’entends toujours la même chose : des patients épuisés ; ils font trois pas et doivent s’allonger ».

Une toux sèche
toux seche
L’un des signes les plus alarmants et perceptibles des symptômes du Covid-19 est la toux. Il ne s’agit pas d’une toux typique mais plutôt d’une toux sèche qui semble être persistante. Cette dernière peut être suivie d’un mal de gorge et d’un écoulement du nez, signes assez démonstratifs de la maladie.

Troubles intestinaux
troubles intestinaux
Bien que ce symptôme fasse partie des signes recensés, il ne constitue pas une variante assez suffisante pour diagnostiquer le coronavirus selon le Dr Pauti.

Affections pulmonaires
Les médecins de ville affirment que certains cas redoutaient de ne plus arriver à respirer normalement voire de ne plus reprendre l’air. Pour autant, on suppose que cela peut être aggravé par l’angoisse, notamment chez les personnes isolées.

La manifestation la plus récurrente de ce malaise est celle d’avoir les poumons « dans un étau ». L’inquiétude se profile quand les personnes respirent plus rapidement que la normale affirme le Dr Pauti, auquel cas elle demande à ses patients d’appeler le 15 dès qu’elle perçoit un essoufflement.

Une infection oculaire
Une étude a été publiée dans le Journal of medical virology suggère que l’infection oculaire pourrait être un symptôme du Covid-19. L’étude portant sur 30 malades chinois hospitalisés pour le coronavirus a montré un cas souffrant de conjonctivite et qui présentait des traces du virus dans le liquide lacrymal et le liquide conjonctival.

Pour autant, l’Académie américaine d’ophtalmologie ( AAO) suggère que « le virus pourrait provoquer une conjonctivite et que des particules virales sont présentes dans les sécrétions oculaires ».
Coronavirus: il y aurait trois souches différentes du virus dans le monde, «il a muté pour survivre»


Selon les dernières recherches de l’Université de Cambridge, le coronavirus se déclinerait en trois souches différentes, chacune présente à différents endroits du monde.
Des chercheurs de l’Université de Cambridge ont tenté de retracer les différents chemins empruntés par le coronavirus pour se répandre à travers le monde. De décembre à mars, le docteur Peter Forster et son équipe ont tracé l’historique génétique de l’infection. Les résultats de leurs recherches indiquent que, depuis le début de l’épidémie, trois souches différentes de coronavirus ont contaminé différentes régions du monde : le type A, le type B et le type C.

Le type A correspond au virus « originel », observé sur des chauves-souris et transmis à l’homme par le pangolin. Il serait actuellement prédominant en Australie et aux États-Unis. Selon les chercheurs, le type A n’aurait, paradoxalement, pas été le plus répandu en Chine et à Wuhan. C’est le type B, un dérivé du premier type, qui a prédominé dans le pays au début de l’épidémie.

Enfin, le type C, la « petite-soeur » du type B, aurait d’abord été observé à Singapour, foyer depuis lequel il serait arrivé en Europe. Selon les premiers résultats de l’étude, le type C était le plus répandu en Europe, « celui qu’on a trouvé sur les premiers patients en France, en Italie, en Suisse et en Angleterre ». Mais les derniers résultats, qui doivent encore être examinés par la communauté scientifique, indiquent que c’est aujourd’hui le type B qui prédomine chez nous.

Pour étudier la propagation du SARS-CoV-2, les chercheurs de Cambridge ont utilisé les méthodes employées pour tracer les migrations des hommes à l’ère préhistorique. Selon le docteur Foster, interrogé par nos confrères du Daily Mail, le type A aurait muté vers le type B au sein même de la Chine. Le type C aurait, quant à lui, vu le jour en dehors du pays. Mais les chercheurs ignorent encore comment le type B a pris le pas sur le type A pour devenir le plus répandu en Chine. Ils estiment également que le type B y existait déjà à Noël. Le virus aurait donc muté bien avant que les premiers cas chinois de Covid-19 soient rapportés. Selon le docteur Foster, les mutations auraient permis au virus de survivre et de s’adapter aux résistances immunitaires des autres populations.

Coronavirus : Voici les produits de nettoyage que vous devriez utiliser à la maison


Alors que les médecins du monde entier se battent contre la pandémie du coronavirus, il existe bel et bien plusieurs mesures que chaque citoyen pourrait prendre afin de se protéger du virus mortel et limiter sa propagation. Ces mesures commencent naturellement par une hygiène impeccable qui vous évitera non seulement de contracter le COVID-19 mais aussi de le propager. Dans cet article, nous vous donnerons des conseils sur les produits de nettoyage que vous devriez utiliser chez vous pour vous protéger et protéger vos proches, selon Franceinfo.
L’une des armes les plus puissantes et efficaces contre le coronavirus reste l’hygiène. Découvrez comment nettoyer votre maison de manière efficace en utilisant les produits adéquats pour vous protéger du fléau que constitue le COVID-19.

Comment le coronavirus se transmet-il ?
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, OMS, le coronavirus se transmet d’une personne porteuse du virus à une autre par le biais de gouttelettes respiratoires expulsées par le nez ou par la bouche sur des objets ou des surfaces autour de la personne en question.

L’OMS précise que le principal moyen de contamination demeure lorsqu’une personne touche un objet ou une surface infectée avant de se toucher les yeux, le nez ou la bouche, ou inhale les gouttelettes d’une personne malade qui vient de tousser, d’éternuer ou de parler.

Ainsi, ce virus respiratoire mortel nous est transmis essentiellement par nos propres mains après qu’elles aient été en contact avec une surface ou un objet infecté. Pour cette raison, il est primordial de nous assurer de bien nettoyer notre maison en utilisant les bons produits pour se protéger du coronavirus.

Que faut-il nettoyer systématiquement à la maison ?
Vous l’aurez compris, afin d’éviter tout risque de contamination, il est essentiel de nettoyer tous les objets et surfaces que vous êtes susceptible de toucher fréquemment. Ceci inclut notamment les poignées des portes, la robinetterie, les interrupteurs, le matériel de cuisine, les couverts, etc. L’idéal serait de nettoyer ces objets et surfaces après chaque utilisation.

Dans ce sens, il faut accorder une attention particulière aux pièces que vous fréquentez le plus, comme votre chambre, votre cuisine et votre salle de bain.

Au niveau de votre chambre, il est recommandé de ne garder que les objets nécessaires pour minimiser les risques de contamination, et de laver vos draps régulièrement à 60°C ou plus. Il est également déconseillé de secouer vos draps ou de passer l’aspirateur afin d’éviter de diffuser des particules virales dans votre espace.

En ce qui concerne votre cuisine, il est primordial de vous laver les mains et de désinfecter toutes les surfaces que vous serez amené à toucher ainsi que le matériel que vous utiliserez avant de commencer à cuisiner. De surcroît, l’Agence nationale de Sécurité sanitaire (Anses) recommande fortement de privilégier les plats bien cuits et d’éviter le cru car “Une cuisson à 63°C pendant 4 minutes permet de diviser par 10 000 la contamination”.

Pour ce qui est de vos toilettes, il faut bien évidemment désinfecter les sanitaires, la robinetterie, et les poignées des portes.

Il est important d’éviter les moquettes, tapis et autres nids à virus et bactéries et de vous assurer de pouvoir nettoyer vos sols de manière efficace.

Avec quels produits ?
Le produit désinfectant le plus efficace dans la situation actuelle reste l’eau de Javel qui est un virucide contrairement au vinaigre blanc. L’idéal serait de laisser l’eau de javel agir pendant 10 à 15 minutes sur les surfaces avant de les essuyer avec un chiffon propre.

N’hésitez pas à tremper votre vaisselle dans de l’eau de javel diluée avant de bien la rincer afin de vous assurer de bien la désinfecter.

Une alternative tout aussi efficace serait d’utiliser de l’alcool à 70° pour nettoyer les objets plus petits. .

Les gestes d’hygiène indispensables pour se protéger du coronavirus
Afin de vous protéger du coronavirus et éviter que cette maladie ne se propage, l’Organisation Mondiale de la Santé recommande de :

Se laver fréquemment et soigneusement les mains avec une solution hydro-alcoolique ou à l’eau et au savon
Maintenir une distance d’au moins un mètre avec les autres personnes
Eviter de se toucher les yeux, le nez et la bouche si les mains ne sont pas nettoyées ou désinfectées
En cas de toux ou d’éternuement, il faut se couvrir la bouche et le nez avec le pli du coude, ou avec un mouchoir et jeter le mouchoir immédiatement après
Rester chez soi et appeler un médecin sans tarder en cas de fièvre, toux ou dyspnée
Se tenir constamment informé des mises à jour relatives au COVID-19

Fumer, augmente-t’il le risque de souffrir de complications liées au coronavirus ?



Si nous sommes tous vulnérables face au coronavirus, certaines personnes le sont davantage et risquent de développer des complications graves. Une étude chinoise relayée par France 3 a récemment démontré que les fumeurs faisaient partie des personnes à risques et que le tabac augmentait considérablement les chances de contracter une forme sévère de la maladie. Explications.
Selon une étude réalisée par des chercheurs chinois, les fumeurs sont plus susceptibles de contracter des formes graves du coronavirus et de souffrir de complications que les non-fumeurs.

Les conséquences désastreuses du tabac sur le système immunitaire
C’est bien connu, le tabac cause des dommages conséquents au corps humain sur de nombreux niveaux. Il est important de rappeler que parmi les conséquences ravageuses du tabagisme sur la santé, on retrouve un affaiblissement du système immunitaire.

La tabacologue Gabrielle Errard-Dubois explique pourquoi les fumeurs sont plus vulnérables aux virus et maladies que les non-fumeurs : “Les fumeurs présentent une inflammation chronique des muqueuses ORL et bronchiques, due à la fumée de la cigarette. Cela met à mal le système immunitaire de la personne, les barrières défensives étant moins efficaces, le terrain est propice aux agents pathogènes.”,précise-t-elle.

Lorsqu’elles sont constamment exposées aux milliers de substances irritantes que contient la fumée de cigarette, les muqueuses peinent à se défendre des virus et bactéries et se transforment en un environnement propice à leur propagation.

Des risques considérablement plus élevés pour les fumeurs
coronavirus-pour-se-proteger
Il a été démontré qu’en sus de fortement affaiblir le système immunitaire, le tabagisme expose les fumeurs à des risques plus élevés de contracter une infection à coronavirus sévère ou très sévère.

La Chine étant le premier pays à avoir souffert du coronavirus, des chercheurs chinois ont mené une étude afin d’évaluer l’impact du tabagisme sur le risque de développer une forme sévère du coronavirus. Les résultats de l’étude, qui ont été publiés dans New England Journal of Medicine, sont implacables : les fumeurs sont sensiblement plus nombreux que les non-fumeurs à développer une forme sévère du COVID-19. De surcroit, 12% des fumeurs infectés par le coronavirus développent une forme “très sévère” face à 5% de non-fumeurs.

covid19 fumer
Le Dr. Géraldine Compte-Nguyen met en garde les fumeurs contre les risques qu’ils encourent : “Un fumeur aura 133% de risques majorés de passer en réanimation ou de décéder. L’augmentation est considérable !”, prévient-elle.

Des risques pour l’entourage du fumeur
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, le coronavirus se transmet d’une personne infectée à une autre “par le biais de gouttelettes respiratoires expulsées par le nez ou par la bouche lorsqu’une personne tousse ou éternue”.

Yves Martinet, professeur de pneumologie à la Faculté de Médecine de Nancy et Président du Comité National Contre le Tabagisme, explique que le tabagisme peut constituer une voie de contamination : “Il a déjà été démontré scientifiquement que les agents infectieux, tels que les bactéries et les virus, peuvent être transportés par le biais des particules fines contenues dans la fumée de cigarettes » alerte le médecin.

De ce fait, les fumeurs mettent davantage leur entourage en danger en cas d’infection : “Le fumeur porteur d’un virus peut, soit en toussant, soit en exhalant sa fumée, être contaminant pour son environnement”,précise Yves Martinet.

Qu’en est-il du vapotage ?
Si de nombreuses personnes affirment que le vapotage est moins dangereux pour la santé et comporte moins de risques, certains professionnels de la santé sont d’un autre avis : “A la place du monoxyde de carbone et de tous les produits irritants contenus dans le tabac, le vapotage fait entrer des solutés qui peuvent déposer des gouttes d’huiles sur la muqueuse bronchique. Ce n’est vraiment pas mieux pour l’état de nos bronches et les risques”, explique le Dr. Gabrielle Errard-Dubois. Un avis qui ne fait tout de même pas consensus. Pour Bertrand Dautznenberg, tabacologue et ex pneumologue à la Pitié-Salpêtrière, les risques de contamination par l’air sont « infimes ». Le secrétaire général de l’Alliance contre le tabac ajoute que « le vrai risque est surtout d’exhaler et de tousser en même temps ».

En ce qui concerne le risque de propagation de virus, Yves Martinet affirme que vapoter ne comporte pas moins de risques. Et pour cause, le pneumologue explique que “comme avec une cigarette traditionnelle, le nuage expiré contient des particules fines sur lesquelles le virus pourrait se fixer. Le vapoteur est donc un potentiel contaminateur si, dans ses poumons, ses bronches ou sa bouche se trouve le virus”.

Hydroxychloroquine et Covid-19: que sait-on ?


Que sait-on de la si controversée chloroquine et son dérivé l’hydroxychloroquine, actuellement expérimentée dans plusieurs pays, aux côtés d’autres molécules, contre le Covid-19 ?

Qu’est-ce que c’est?

La chloroquine, issue de la quinine, est prescrite depuis plusieurs décennies contre le paludisme, un parasite véhiculé par le moustique. Il existe un dérivé, l’hydroxychloroquine (HC), mieux toléré, connu en France sous le nom de Plaquenil, utilisé contre le lupus ou la polyarthrite rhumatoïde.

Pourquoi suscitent-elles de l’espoir ? 

Dans l’attente d’un hypothétique vaccin, les scientifiques travaillent sur de nombreuses pistes thérapeutiques, dont plusieurs médicaments existants, comme des antiviraux ou l’hydroxychloroquine. La chloroquine et l’hydroxychloroquine ont l’avantage d’être déjà disponibles, bon marché et bien connues. Avant même le SARS-CoV-2, leurs propriétés antivirales ont fait l’objet de nombreuses études, in vitro ou sur des animaux et sur différents virus, avec dans certains cas, des résultats positifs. Des études ont aussi montré des effets in vitro sur le nouveau coronavirus mais bien souvent, des résultats scientifiques in vitro ne se retrouvent pas in vivo chez l’homme.

La polémique scientifique

En France, le Pr Didier Raoult et son équipe à l’Institut Hospitalo-Universitaire (IHU) Méditerranée Infection ont conclu dans plusieurs études à “l’efficacité” de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, un antibiotique, sur des patients malades. Des scientifiques chinois ont également observé des signes d’efficacité dans des études cliniques. Mais l’OMS et nombre de scientifiques estiment impossible de tirer cette conclusion sur la seule base de ces études, en raison de la manière dont elles sont élaborées, en particulier parce le nombre de patients est trop limité. Preuve de la complexité du sujet, d’autres études, elles aussi limitées, ont abouti récemment à une absence d’efficacité.

Face aux critiques, le Pr Raoult a mis en ligne vendredi le résumé d’une nouvelle étude – non encore publiée par une revue scientifique – portant cette fois sur plus de 1.000 malades, qui pour 95% d’entre eux avaient des symptômes de faible gravité. Le chercheur y affirme notamment qu’après 10 jours, plus de neuf sur dix (91,7%) n’avaient plus de charge virale.

Partisans et détracteurs

Mais pour Arnaud Fontanet, épidémiologiste à l’Institut Pasteur, en l’absence de groupe-témoin de patients (qui reçoivent un placebo), on ne peut pas savoir si le traitement est efficace. “Ces résultats sont juste nuls et non avenus, ça ne nous apprend rien sur l’efficacité du traitement”, estime sa consoeur Catherine Hill, qui souligne qu’au moins 85% des gens guérissent spontanément, sans aucun traitement. En revanche, à rebours de nombre de ses confrères, le professeur Christian Peronne, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches, plaide lui aussi pour l’utilisation large et rapide de l’hydroxychloroquine. C’est à cause de toutes ces inconnues qu’une très large partie de la communauté scientifique, ainsi que les autorités sanitaires françaises ou américaines notamment, appellent à des essais bien plus larges. Le débat se focalise donc entre ceux qui appellent à la prudence, le temps de mener à bien ces essais, et ceux qui prônent une large utilisation du médicament au nom de l’urgence sanitaire.

La polémique politique

De fait, les controverses autour de l’hydroxychloroquine ont largement dépassé la sphère scientifique pour devenir, en particulier en France, un sujet de débat public et politique très médiatisé, suscitant des discussions enflammées en famille et dans les médias mais aussi une pétition, de féroces empoignades sur les réseaux sociaux et même un sondage d’opinion. En France le Pr Raoult a reçu le soutien de personnalités politiques, comme le maire de Nice Christian Estrosi, le chef de file des sénateurs LR Bruno Retailleau ou l’ancien ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy. Le président Emmanuel Macron a quant à lui rencontré plusieurs chercheurs travaillant sur des traitements potentiels, dont le Pr Raoult jeudi, sans qu’il s’agisse, selon l’Élysée, d’une “reconnaissance” de la méthode du chercheur marseillais. Aux Etats-Unis, c’est le président Donald Trump lui-même qui s’en est fait l’apôtre officiel, malgré la prudence martelée par le Dr Anthony Fauci, son conseiller sur la pandémie.

Les risques

Médecins, chercheurs et autorités sanitaires mettent en garde contre un engouement précipité pour ces substances, à cause du risque de pénurie pour les malades chroniques mais aussi en raison des nombreux effets indésirables. Ils sont nombreux et peuvent être graves, notamment rénaux, dermatologiques ou cardiaques. Un surdosage peut être dangereux, voire mortel. Des cas d’intoxications ont été signalés en France ou au Nigeria et, aux Etats-Unis, un homme est mort après avoir ingéré une forme de chloroquine destinée aux aquariums. En France, l’Agence du médicament a mis en garde vendredi une nouvelle fois contre un traitement à base d’hydroxychloroquine seule ou avec l’azithromycine, en raison d’effets indésirables cardiaques. Sept arrêts cardiaques de cette nature ont ainsi été signalés, dont quatre ont conduit au décès.

“Risques majeurs d’accident gravissime”

Le Pr Émile Ferrari qui dirige le service de cardiologie à l’hôpital Pasteur à Nice, a indiqué mardi à Nice-Matin avoir interrompu le protocole hydroxychloroquine + l’azithromycine chez une patiente en raison de “risques majeurs d’accident gravissime”. Des effets indésirables qui ont conduit certains hôpitaux suédois à stopper le traitement, selon la presse suédoise. “Certes le Covid-19 tue mais il ne faudrait pas, chez des patients, dont l’évolution spontanée est favorable et en particulier chez des patients ambulatoires, que le remède soit plus néfaste que la maladie elle-même”, ajoute le Pr Ferrari.

Qui l’utilise contre le Covid-19?

Compte tenu de l’explosion de demandes de chloroquine et d’hydroxycholoroquine depuis plusieurs semaines, on peut supposer que des médecins dans le monde entier en ont prescrit contre le Covid. De fait, elles sont administrées à des malades du Covid-19 dans plusieurs pays, en général à l’hôpital, selon des modalités différentes. Vendredi, le laboratoire français Sanofi, qui démultiplie sa production, a annoncé faire don de 100 millions de doses d’hydroxychloroquine à une cinquantaine de pays pour traiter les malades atteints du Covid-19. Pourtant ces médicaments ne devraient “être utilisés que pour des essais cliniques ou des programmes d’urgence” dans le cadre de protocoles stricts validés dans chaque pays, selon l’Agence européenne du médicament. 

Aux Etats-Unis, l’agence du médicament (FDA) a autorisé l’utilisation, uniquement à l’hôpital, contre le Covid-19, “de manière adaptée, quand un essai clinique n’est pas disponible ou faisable”. 

La France a restreint l’usage de l’hydroxychloroquine à l’hôpital uniquement et seulement pour les cas graves.

L’Agence suédoise du médicament est allée plus loin et a décidé le 2 avril de limiter la prescription de chloroquine et hydroxychloroquine uniquement à certaines pathologies, non Covid-19, compte tenu du manque de données sur leur innocuité pour les malades du Covid.

Au Sénégal, de nombreux malades du coronavirus ont reçu de l’hydroxychloroquine en milieu hospitalier, tandis que par exemple le Maroc souhaite y recourir pour “les cas confirmés”.

Essais cliniques

Parallèlement sont lancés des essais cliniques destinés à tester son efficacité et sa sûreté pour les malades du Covid, selon un protocole respectant la stricte orthodoxie scientifique. En France, le CHU d’Angers a lancé avec d’autres hôpitaux une étude sur 1.300 patients (Hycovid). Un essai européen (Discovery) teste quatre traitements, dont l’hydroxycholoroquine, sur 3.200 patients dont 800 cas graves en France. De premières observations intermédiaires sont imminentes. L’OMS doit aussi lancer un vaste essai clinique international.
https://grptrk.com/show.php?l=0&u=333851&id=23968
Fourni par Blogger.

Pages

Suivez-nous sur Facebook

Blogroll

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...

Membres

populaire